Les taquets des écoutes, la barre et le levier de frein. Notez la lisse
qui est posée contre le pourtour de l'ouverture du pont.
Le gouvernail et ses ferrures inversées.
La voûte, importante, est
surmontée d'un petit tableau qui sur le plan, est généreusement garni
de sculptures.
La quille et l'étrave sont
assemblées par un écart plat. La virure la plus basse, taillée en
biseau s'adapte au profil la sole.
La sous-barbe du bâton de foc, ne
craignant pas l'eau sur ce canot, peut être épissée très bas de l'étrave
.
Le pied du mât est maintenu par un étambrai constitué d'une caisse en
bordage cerclée d'un collier démontable. De part et d'autre, les
taquets pour les drisses.
En avant, la barre d'écoute du foc et sur le
petit pont avant, le massif du pied du bâton de foc dont on aperçoit
la cheville servant de clef.
Le collier de maintien du mât est verrouillé par une cheville dont on
devine ici la goupille.
Un peu au dessus, un collier en fer sur lequel
est soudé l'œillet recevant le croc de la baume.
L'écoute double du foc passe dans une simple manille coulissant sur la
barre d'écoute.
Au fond de la coque, la carlingue du mât et un des
massifs de la traverse.
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